Joël Dicker・La disparition de Stephanie Mailer

 

Joël Dicker l’écrivain sur lequel il faisait bon taper !


J’avais aimé L’Affaire Harry Quebert et plus encore Le Livre des Baltimore. J’ai lu la critique du Monde concernant son dernier opus -ok t’es critique mais quand on sort des extraits du bouquin qui sont tous dans les 30 premières pages pour un pavé qui en fait 630 c’est bof - mais j’imagine qu’il n’y avait pas plus de temps à y passer – et je m’attendais à un truc écrit pour les débiles ! Du coup, j’osais pas lire...genre je lisais quelques pages par-ci par-là, je regardais autour de moi qu’il y avait bien que des gens qui aimaient pas lire !! 

Et de fil en aiguille, j’avais déjà fini ...

Ok il y a quelques longueurs, ok quelques lieux communs, ok c’est loufoque voire carrément irréaliste comme situations. Mais en fait j’avais juste envie d’un bon bouquin qui me fasse m’évader, comme une série télévisée, avec une intrigue rondement menée (l’auteur s’est bien pris la tête avec le nombre de perso qu’il y a !) et au final qui fait passer un BON MOMENT ! On n’a pas le droit la police des critiques ?! 

De façon plus générale, je ne comprends pas trop les journalistes qui tapent sur des écrivains « grand public ». C’est quand même eux qui font s’équilibrer les bilans des maisons d’éditions non? Ça ne fera pas plus lire ceux qui lisent déjà peu... Attention je ne dis pas que je suis contre un avis négatif, au contraire, mais que certains avis sont aigris !

Bref, si vous avez aimé un de ses précédents livres, foncez !

 
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640 pages aux Éditions de Fallois